Malgré les recrutements massifs d'étrangers à coup de dollars, les prokadhafi ont le moral au plus bas. S’ils se battent encore, c’est sous la contrainte et la menace. A la moindre occasion offerte, ils s’enfuient ou se rendent. Le dictateur ne dort pratiquement plus et vit sous perfusions. Son entourage est las et prend ses distances avec la culture de l’héroïsme paternel entretenu par certains conseillers malveillants, pas tous libyens, certains jouant l’entretien du feu.
Cette révolution légitime aurait du s’achever plus tôt. J’avais souligné, il y a quelques semaines, quelques erreurs d’appréciation qui risqueraient d’enliser le conflit. Cela s’est confirmé. Les leçons seront tirés en temps voulu, je l’espère pour le futur..
Le peuple libyen courageux et pacifiste ne veut plus de kadhafi, ni de son régime qui, par son obstination maladive, sa soif de pouvoir sans limites et son ego démesuré n’a pas su analyser les enjeux et les conséquences et a entraîné leur pays à la guerre, aux drames et à la ruine. Il veut qu’on en finisse coûte que coûte. Il est temps pour les alliés et la rébellion de faire monter la pression tout en poursuivant la politique de la coquille vide. En sachant que le désert est truffé de ruses auxquelles, il faut répondre par davantage de ruses. Aux stratèges d’innover encore pour le petit bout de chemin qui reste. L'après Kadhafi, c'est déjà aujourd'hui.
"Les dictateurs ont toujours la peau dure mais leur grande bêtise, c'est de ne pas savoir se retirer à temps".
Cette révolution légitime aurait du s’achever plus tôt. J’avais souligné, il y a quelques semaines, quelques erreurs d’appréciation qui risqueraient d’enliser le conflit. Cela s’est confirmé. Les leçons seront tirés en temps voulu, je l’espère pour le futur..
Le peuple libyen courageux et pacifiste ne veut plus de kadhafi, ni de son régime qui, par son obstination maladive, sa soif de pouvoir sans limites et son ego démesuré n’a pas su analyser les enjeux et les conséquences et a entraîné leur pays à la guerre, aux drames et à la ruine. Il veut qu’on en finisse coûte que coûte. Il est temps pour les alliés et la rébellion de faire monter la pression tout en poursuivant la politique de la coquille vide. En sachant que le désert est truffé de ruses auxquelles, il faut répondre par davantage de ruses. Aux stratèges d’innover encore pour le petit bout de chemin qui reste. L'après Kadhafi, c'est déjà aujourd'hui.
"Les dictateurs ont toujours la peau dure mais leur grande bêtise, c'est de ne pas savoir se retirer à temps".
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