La parole de l'action : soutien aux Réformes, au Changement. L'Humain au cœur de toutes les Actions.....
vendredi 30 décembre 2016
lundi 19 décembre 2016
Nous ne pouvons que saluer la décision du FMI qui a de nouveau exprimé son soutien et sa confiance à Christine Lagarde...
Nous ne pouvons que saluer la décision
du FMI qui a de nouveau exprimé son soutien et sa confiance à Christine
Lagarde... qui a tout notre respect et notre amitié.
Je n’ai jamais douté de cette sage décision,
c’est du bon sens et je l’ai exprimé publiquement à 2 reprises. …en 2011 et
2013.. pour défendre une grande dame, une amie.
http://dali-raphaet.blogspot.com/2013/05/affaire-tapie-credit-lyonnais-christine.html
Affaire Tapie-crédit lyonnais : « Christine Lagarde est une technicienne en politique et non une politicienne de la politique »
Ancienne ministre de l’économie et des finances et présidente actuelle du FMI, Christine Lagarde est une grande dame intègre et loyale loin des intrigues de salon ou des calculs de l’ombre des officines. Tout au long de son parcours gouvernemental, Christine Lagarde était l’éclat du lot des politiques, essentiellement penchée sur l’étude et le suivi des grands dossiers techniques du pays.
Les Français, de toutes tendances, lui portent un profond respect. Elle est la fierté de la France.
De ce fait, suite à son audition par la Cour de justice de la République dans l’arbitrage de l’affaire du crédit lyonnais - Bernard Tapie, je ne doute pas un instant de son intégrité et elle a mon soutien constant et amical. Il y a des moments où l'on a le triste sentiment que " le système" cherche désespérément à écarter ou marginaliser les meilleurs de ses enfants.
Raphaet Dali, médecin, politologue, conseiller local et d’agglomération, grand électeur
http://dali-raphaet.blogspot.com/2011/05/christine-lagarde-excellente-candidate.html Christine Lagarde, excellente candidate à la succession de DSK à la tête du FMI mais..
Mais c'est aussi un des meilleurs atouts de Nicolas Sarkozy à la veille de 2012. Infatigable, efficace, fidèle à ses amis, rassembleuse, elle incarne parfaitement la France à la fois conservatrice et moderne. A l’unanimité, elle figure parmi nos plus éminents spécialistes de l’économie et des finances. Elle porte, en elle et à la fois, ce savant mélange de rigueur et de souplesse si nécessaires à la gestion des crises et de l’intérêt général. On l’a vu sur tous les fronts.
Si j'étais de gauche, je ferai tout pour soutenir sa candidature au FMI, l’éloigner ainsi de Nicolas Sarkozy et la placer à la une des sondages en faveur de son élection à la tête de la prestigieuse institution.
Talentueuse, elle mérite largement ce poste mais, si j'étais Nicolas Sarkozy, je réfléchirai ....et me garderai bien de ne pas peser le pour et le contre.... Le dernier mot appartient, bien sûr, à la grande dame....
Raphaet Dali, médecin, politologue, conseiller local et d’agglomération, grand électeur
Attaque aveugle à Berlin à la veille de Noel : Solidarité et condoléances au peuple allemand et à sa chancelière Angela Merkel
Un camion fonce sur la foule rassemblée à la veille de Noël.
L’enquête est encore en cours et les secours se sont organisés rapidement.
Les mobiles du cette tragédie ne sont pas encore connues.
Le président François Hollande a exprimé sa solidarité au peuple allemand et à Angela Merkel.
jeudi 24 novembre 2016
Primaires de la droite : Juppé - Fillon. François Fillon n’a pas joué franc jeu. Quand la désinformation gagne du terrain sur l'information réelle....
Quand la
désinformation gagne du terrain sur l'information réelle, alors nous nous
trouvons face à une tromperie de masse qui ne peut qu'affaiblir le sens des
élections donc de la démocratie...
Primaires de la droite : Juppé - Fillon. François Fillon n’a pas joué franc jeu. De plus, il attise la haine religieuse et divise davantage les français. Cela ne peut être qu’improductif pour lui, pour le « mieux vivre » des français et pour l’unité de la France. Chaque citoyen français doit prendre conscience qu'en cette époque de mondialisation, de guerre économique aiguë, de réseaux sociaux incontrôlables à la fois productifs et dévastateurs, que l'unité de tous les français autour de leur maison est fondamentale et que la solidarité avec les voisins européens est indispensable et que toute forme de haine utilisée est à bannir. Seule la loi régit les rapports entre les citoyens et le mieux vivre ensemble et non les discours opportunistes d'un dangereux populisme.
Raphaet Dali. Ex élu et grand électeur. Non encarté
Articles associés : http://dali-raphaet.blogspot.com/2012/11/ump-cope-fillon-juppe-mes-pronostics.html
PS : ci dessous, pour lecture : analyse lue sur slate.fr
http://www.slate.fr/story/129107/campagne-contre-juppe-islamophobie
Autant le dire tout de suite. Dans ce qui l’aura déstabilisé, le fascisme aura joué son rôle. On parle ici du fascisme comme de la diffamation organisée d’un homme, par le mensonge et la propagande, en faisant appel à la peur et au racisme, et à l’islamophobie.
On peut tout dire sur ses choix politiques, son âge, ses raideurs, l’illusion peut-être de ses postures. Mais il est une limite, franchie depuis longtemps contre Alain Juppé. Depuis des semaines, celui que la fange d’internet a surnommé «Ali Juppé», est présenté comme un fourrier de l’islamisme, complice avéré ou idiot utile des frères musulmans. Dans le contexte de la droite, ceci est fait pour tuer. Cette opération mobilise la fachosphère, mais pas seulement. Elle est l’occasion d’une connexion entre le sarkozysme, ses marges et l’extrême droite: une recomposition in vivo aux détriments d’un homme n’ayant pas marché dans le préjugé du moment.
Il y a quelques jours le site Atlantico, de bonne droite autrefois buissonienne, depuis émancipée, publiait cette tribune au ton de chattemite. «Islamisme politique: la double erreur d'Alain Juppé». Elle est signée Patrick Karam, activiste multicarte, jadis dans le militantisme DOM, aujourd’hui porte-parole de Nicolas Sarkozy chargé des chrétiens d’orient. Elle explique en substance qu’Alain Juppé, en mars 2011, adouba les frères musulmans égyptiens, et serait donc responsable, le lien était fait, des souffrances des Coptes d’Egypte.
Evidemment, c’est d’un
ridicule achevé. En mars 2011, Alain Juppé, ministre des Affaires
étrangères du gouvernement de François Fillon, sous la Présidence de
Nicolas Sarkozy, alla, en Egypte et, dans un café, rencontra quelques
jeunes acteurs de la Révolution égyptienne. La France, dans ses
entrelacs de vieilles amitiés avec les dictateurs arabes, s’en voulait
d’avoir manqué le printemps arabe. Juppé, pour le pays, essayait de
recoller au monde. Parmi ses interlocuteurs, venus des manifestations de
la place Tahrir, se trouvaient aussi de jeunes militants fréristes. On
était des mois avant l’élection de Morsi, les dérapages subséquents, et
le putsch de reprise en main qui reconduirait les militaires au pouvoir,
ce dont nous nous arrangeons fort bien. On était dans l’émerveillement
d’une liberté entraperçue, et les jeunes gens qui voyaient Juppé le lui
dirent. Il en revint bienveillant. Il l’exprima sur son blog:
«Je retrouve une dizaines de jeunes, membres du mouvement du 25 janvier (date de la première manifestation monstre sur la place Tahrir). Pendant une heure et demie, je les écoute me parler de leurs projets, de leurs espoirs, de leurs craintes. Ils m’impressionnent par leur calme et leur détermination à la fois, par leur refus de se laisser confisquer leur victoire qui est celle du peuple, me disent-ils, et non celle d’un parti ou d’une religion. Je me laisse gagner par leur enthousiasme, je rêve avec eux d’une Egypte réconciliée, démocratique."
" Les ennemis de Juppé ont voulu faire de lui un allié des
Frères musulmans pour jouer de la peur et de l'islamophobie. Ça a pris.
En
cette journée venteuse, Alain Juppé perd peut-être sa superbe et son
rêve. Si cela arrive, on empilera quelques nouvelles réflexions
convenues sur les illusions sondagières, et d’autres plus précises sur
la radicalisation de la droite française, en ses primaires appelées.Autant le dire tout de suite. Dans ce qui l’aura déstabilisé, le fascisme aura joué son rôle. On parle ici du fascisme comme de la diffamation organisée d’un homme, par le mensonge et la propagande, en faisant appel à la peur et au racisme, et à l’islamophobie.
On peut tout dire sur ses choix politiques, son âge, ses raideurs, l’illusion peut-être de ses postures. Mais il est une limite, franchie depuis longtemps contre Alain Juppé. Depuis des semaines, celui que la fange d’internet a surnommé «Ali Juppé», est présenté comme un fourrier de l’islamisme, complice avéré ou idiot utile des frères musulmans. Dans le contexte de la droite, ceci est fait pour tuer. Cette opération mobilise la fachosphère, mais pas seulement. Elle est l’occasion d’une connexion entre le sarkozysme, ses marges et l’extrême droite: une recomposition in vivo aux détriments d’un homme n’ayant pas marché dans le préjugé du moment.
Il y a quelques jours le site Atlantico, de bonne droite autrefois buissonienne, depuis émancipée, publiait cette tribune au ton de chattemite. «Islamisme politique: la double erreur d'Alain Juppé». Elle est signée Patrick Karam, activiste multicarte, jadis dans le militantisme DOM, aujourd’hui porte-parole de Nicolas Sarkozy chargé des chrétiens d’orient. Elle explique en substance qu’Alain Juppé, en mars 2011, adouba les frères musulmans égyptiens, et serait donc responsable, le lien était fait, des souffrances des Coptes d’Egypte.
La diplomatie montée en épingle
«Je retrouve une dizaines de jeunes, membres du mouvement du 25 janvier (date de la première manifestation monstre sur la place Tahrir). Pendant une heure et demie, je les écoute me parler de leurs projets, de leurs espoirs, de leurs craintes. Ils m’impressionnent par leur calme et leur détermination à la fois, par leur refus de se laisser confisquer leur victoire qui est celle du peuple, me disent-ils, et non celle d’un parti ou d’une religion. Je me laisse gagner par leur enthousiasme, je rêve avec eux d’une Egypte réconciliée, démocratique."
jeudi 10 novembre 2016
Les américains ont voté. Trump triomphe. Inquiétudes et vigilances …le phénomène des « contraires »..
Les principales raisons qui m’ont
poussé à soutenir Hillary Clinton
N’étant pas citoyen américain, J’ai
soutenu moralement Hillary Clinton comme beaucoup de fidèles de Barack Obama, et
ce pour 4 raisons :
1/ Son expérience politique incontestable
puisqu’elle était aux côtés de son mari Bill du temps de l’exercice de sa
présidence puis ensuite secrétaire
d’Etat sous la direction de Barack Obama.
2/ C’est la candidate soutenue par une
personnalité que j’admire et respecte, Barack Obama, lequel s’est rallié
naturellement aux résultats des primaires démocrates.
3/ Il aurait été intéressant et original
d’avoir pour la première fois dans l’histoire des USA, une femme d’expérience à la tête de l’exécutif
de la première puissance mondiale. Pourquoi pas ?
4/ Les déclarations souvent farfelues et
extrêmes de Donald Trump ne me rassuraient guère.
Oui j’ai souhaité la victoire d’Hillary
Clinton pour ces raisons mais, comme vous pouvez le constater à travers mes
écrits, je n’ai jamais prédit cette victoire
contrairement à ma réaction spontanée durant
la période préélectorale de Barack Obama, il y a 8 ans, au cours de laquelle je
lui avais écrit affirmant, contre vents
et marées, qu’il sera le 44 e président des USA. J’avais suivi de près sa
campagne électorale, je me sentais tellement proche de cet homme, de ses idées
et de son parcours et je rêvais de sa
victoire, il la méritait amplement et je la voulais de façon pressante.
Les raisons de cette parenthèse n’avaient
rien à voir avec la valeur intrinsèque d’Hillary Clinton, une grande dame, mon inquiétude était conditionnée par ce que
j’appelle le phénomène des
« contraires ».
Le phénomène des « contraires »
Toutes les sociétés de ce monde sont en train de subir de profondes
mutations et modifications ébranlant le tissu social et le cheminement de la
pensée des individus déplaçant la courbe
de Gauss statistique qui privilégiait la prédominance habituelle de la modération et du juste milieu.
Les extrêmes aux dépens de la modération.
Les réseaux sociaux, la guerre de
communication, la multiplication de l’information et sa dépendance ont bouleversé
les comportements classiques sociétaux entrainant ainsi une prolifération des « contraires », les contraires étant,
selon moi, désignés comme les personnes qui, pour différentes raisons complexes prennent
des positions confuses contraires à ceux
de leurs intérêts directs ou collectifs. Et donc, autant je craignais la victoire
de Trump, autant malgré les sondages, elle était du domaine du grand possible. Bien
avant le Brexit, d‘autres votes ou referendums portent cette signature «
contraire » suivi par la suite du regret des votants dans la plupart des
cas. Et ce sera le cas aussi pour les USA avec pour conséquences un malaise
réel.
Dans le domaine médical, nous avions
appris et observé que dans des situations pathologiques ou de dérive
physiologique, le corps pousse paradoxalement l’individu atteint, à
aggraver son cas par le biais de pulsions et sensations internes
l’amenant à faire l’inverse de ce qui est recommandé pour améliorer son état de
santé. Pour exemple, le cas du patient
atteint du diabète qui présente des fortes envies de manger davantage et de
consommer du sucré alors que cela lui est défendu et non recommandé pour
traiter son mal. Comme si la nature
faisait baisser les bras et poussait à l’aggravation du cas.
Désolé pour l’exemple mais je pense que
nous évoluons un peu partout vers une société plus déchirée, plus malade que
saine et qu’il va falloir rectifier le tir et privilégier des « gardes
fous » avant que cela ne soit plus grave.
Une note optimiste cependant.
Les votes démocratiques ne peuvent être que positif
car la liberté d’expression régnant dans
les démocraties recadre les irrégularités et les défaillances du système.
Les élections démocratiques restent de
toutes évidences de bons et grands pas lorsque les institutions sont solides et
que la justice fonctionne.
Oui, succéder à un grand président et
un grand homme n’est pas aisée.
Trump
élu, il est donc le président de tous
les américains.
Il succède
à Barack Obama, un grand homme qui a marqué l’histoire et l’esprit de son pays.
Barack Obama n’est pas fini et déjà, son nom sera à jamais inscrit parmi les grands
de notre époque et de ce monde car comme durant sa jeunesse et ses débuts de
carrières, il a été de tous les combats du côté des faibles,
des peuples opprimés, luttant contre l’injustice sociale, contre le racisme,
l’intolérance et les inégalités sociales.
Oui, succéder
à un grand président et un grand homme n’est pas aisée. L’ombre positive de
Barack Obama planera sur les épaules de chaque américain. Et l’avenir est
encore devant lui.
Politique
étrangère
Je ne
pense pas que Trump changera la politique étrangère des USA.
Il est
vrai que la fonction de président des USA donne beaucoup de pouvoir en matière de politique étrangère mais là aussi, lors des
échanges de la passation qui vont se faire entre les 2 présidents, le sortant et le
rentrant, les choses seront clarifiés et la raison prévaudra, sans doute, sur les passions.
Il est
possible que les USA soient tentés de se
renfermer davantage sur eux-mêmes mais
la real politique d’un monde en profonde mutation et bourré d’interférences, ne
leur laissera pas ce choix. Les discours électoraux sont une chose et la
réalité en est une autre.
Compte
tenu des courants puissants adverses, les USA ne pourront que maintenir une
vigilance calculée afin de protéger leur démocratie et ses institutions.
La politique de rapprochement atlantique ne sera et ne doit pas être remise
en cause
Faut-il
avoir peur de cette victoire de Trump ?
Oui, Trump
fait peur mais les institutions américaines sont solides et vaincront les
orages à venir.
Ce type
de résultat inquiète davantage lorsque l’on vit dans un pays fragilisé par la corruption systémique ou une par une
dictature appuyée…mais cela reste bien atténué
lorsqu’il s’agit de pays disposant d’institutions solides avec des
contrepouvoirs puissants pouvant contrer
toutes actions ou décisions irréfléchies de la présidence.
Durant sa
campagne, Trump nous a paru excessif et déroutant mais pour les raisons citées
plus haut, parce que les institutions américaines sont solides, il ne
gouvernera pas à sa guise et sera obligé de composer non seulement avec ses
amis républicains qui ne lui laisseront pas les coudées franches mais aussi
avec les démocrates et toutes les autres institutions d’état. Par conséquent, même si il est prédisposé à
certains excès, il sera « retenu » et amené à se retrancher dans le juste milieu. Ceci dit,
l’inquiétude mesurée reste de mise.
Barack Obama n’a pas subi de défaite
Nul n’est parfait dans ce bas monde mais
Il a, de mon point de vue, réussit ses 2
mandats (4x 4 ans) à la présidence des USA et je le félicite
vivement non seulement pour nous avoir fait rêver mais aussi pour avoir accompli nos rêves durant ces 8
années en apportant au monde l’essentiel malgré les contre courants, un grand
message de tolérance et d’humanité le tout accompagné d’une gouvernance
décontractée et pédagogique. Les peuples
seuls ne peuvent pas fléchir ou déraciner les grands dictateurs féroces. Le monde doit à Barack Obama et ses
alliés une plus grande liberté d’expression des peuples et des sociétés
civiles. Pour exemple, les tunisiens lui
doivent en bonne partie la certaine liberté d’expression d’aujourd’hui. Pour ne
citer que cet exemple, Barack Obama et ses alliés, s’était engagé clairement du côté du peuple
tunisien en colère lorsqu’il s’est
révolté contre la dictature politico- mafio- financière de Ben Ali et de son système et ce par les actes et
les paroles.
François Hollande et Angela
Merkel ont bien conclu
le fond de notre pensée lors de leur déclaration post résultats du vote
américain.
François Hollande: « inquiétude » et « vigilance » mais l’assurance
que les USA resteront l’allié fidèle et historique de l’Europe
Angela Merkel : "L'Allemagne et les Etats-Unis sont liés par
des valeurs, la démocratie, la liberté, le respect du droit, de la dignité
de l'homme indépendamment de sa couleur de peau, de sa religion, de son sexe…. »
4 ans cela passe très vite, trop…
trop vite
Alors, Wait and see.
Raphaet Dali, médecin, ex élu et grand
électeur
lundi 24 octobre 2016
Affaire Morandini : je salue les grévistes qui font honneur à leur profession face à l'innomable...
Morandini : je salue les grévistes
qui font honneur à leur profession face à l'ignominie d'un animateur qui abuse
de jeunes à la recherche de job. Et de plus, on lui propose une émission. Mais
le monde devient réellement à l'envers et le pire sociétal est à attendre si
les politiques hors copinages stériles ne prennent pas des mesures
préventives...Car j'ai l'étrange sentiment qu'un vent de folie est en train de couvrir l'air que l'on respire....
lundi 27 juin 2016
Brexit : Brexit : une fugue familiale.........Tant que les institutions politiques et financières de l'Europe sont solides face à toutes les agressions....
Brexit : une
fugue familiale d'un membre soumis à de multiples pressions,
qui regrettera rapidement son geste et qui reviendra tôt ou tard au giron.
Tant que les
institutions politiques et financières de l'Europe sont solides face à toutes
les agressions intérieures et extérieures qui sèment le doute, visent son unité, rien ne pourra
l'ébranler.
Ce sont les
pays qui en sont dénuées qui resteront fragiles.
Plus que
jamais, face à une mondialisation parfois déroutante, l’Europe doit privilégier les conditions de la « consolidation
de son unité ».
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