A situation de crise, mesures fortes. Avons-nous le choix ?
Objectif : récupérer 100 milliards d'euros de dépenses publiques en 4 ans.
Cibles : le non remplacement des fonctionnaires et la contribution des niches fiscales en particulier.
Les dernières mesures sur la réduction du cumul de certains salaires octroyés à nos référents est une mesure juste et solidaire pour l’exemple dans le contexte actuel.
D'autres également significatives ont été mises en place pour réduire sensiblement les dépenses non productives qui tirent notre équilibre financier vers le bas et grèvent notre compétitivité.
La crise a du bon quant on traite rapidement et bien les points faibles structurels de notre système qui, dans le contexte particulier, remontent toujours à la surface.
Un autre fléau, véritable force d'inertie est représenté par la puissance de certains corporatismes archaïques et inadaptés qui étouffent le bon fonctionnement et la flexibilité de notre système. Ils suscitent également une certaine méfiance de la part de quelques voisins européens en particulier l'Allemagne et le Royaume uni... Quelques avancées ont été faites dans leur traitement symptomatique, il en reste d'autres de fond. C'est un grand chantier... L'intérêt général et la solidarité doivent devancer les intérêts des corporations et des lobbies de tous les niveaux qui doivent prendre conscience que nous sommes tous et tout simplement sur le même bateau naviguant sur un océan agité et imprévisible.
Objectif : récupérer 100 milliards d'euros de dépenses publiques en 4 ans.
Cibles : le non remplacement des fonctionnaires et la contribution des niches fiscales en particulier.
Les dernières mesures sur la réduction du cumul de certains salaires octroyés à nos référents est une mesure juste et solidaire pour l’exemple dans le contexte actuel.
D'autres également significatives ont été mises en place pour réduire sensiblement les dépenses non productives qui tirent notre équilibre financier vers le bas et grèvent notre compétitivité.
La crise a du bon quant on traite rapidement et bien les points faibles structurels de notre système qui, dans le contexte particulier, remontent toujours à la surface.
Un autre fléau, véritable force d'inertie est représenté par la puissance de certains corporatismes archaïques et inadaptés qui étouffent le bon fonctionnement et la flexibilité de notre système. Ils suscitent également une certaine méfiance de la part de quelques voisins européens en particulier l'Allemagne et le Royaume uni... Quelques avancées ont été faites dans leur traitement symptomatique, il en reste d'autres de fond. C'est un grand chantier... L'intérêt général et la solidarité doivent devancer les intérêts des corporations et des lobbies de tous les niveaux qui doivent prendre conscience que nous sommes tous et tout simplement sur le même bateau naviguant sur un océan agité et imprévisible.
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