On diabolise l’autre à tout va et à qui fait mieux pour lui
faire porter queue et cornes. Le rouleau compresseur de la diabolisation est en marche forcée et tout
y passe. Les candidats, les partis, les électeurs (de l’autre bien sûr), puis
les croyances religieuses, les étrangers, les riches, les pauvres, les hommes,
les femmes, l’Europe, le monde et même Johnny Hallyday.
Au dessus des nuages, quelque part dans le ciel, il y en a Un qui doit bien se marrer. Il sait qu’ils ont tous un diable dans la poche et
un ange dans l’autre mais, grosso modo, ce sont de bons "petits diables".
Lui, il tient la balance. On dit qu’Il a toujours le dernier
mot.
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