Par R.D
Dégeler les marchés, leur permettre de prêter, leur assurer plus de liquidités, voila quelques mesures phares faisant partie du plan de relance.
Hélas, il semble que la machine peine à prêter et à s’impliquer. Peut être a-t-elle ses raisons ?
Ces raisons sont-t'elles liées aux hauts risques que présentent certaines entreprises ?
Ou bien sont-t'elles internes à la banque et tout simplement structurelles ?
Sont-elles en mesure de changer ou d’adapter leurs règles de fonctionnement héritées de l’ancienne économie et de l’ex vrai fausse aisance boursière.
Leurs structures actuelles sont-t' elles à adapter en profondeur à la crise et aux nouveaux défis ?
Sont-t'elles en mesure de réaliser les transformations et adaptations par elles-mêmes ?
Faut-il les redynamiser en créant un conseil de contrôle ou de régulation composé de technicopolitiques pragmatiques chargés de ramener à la fois de la souplesse, de la hardiesse et de l’agressivité dans l’octroi des crédits mais aussi dans la gestion bancaire.
Parallèlement, et pourquoi pas, créer également si cela s'avère nécessaire, de nouvelles banques "de développement"plus souples plus efficaces ne portant pas de grosses casser oles, des banques hybrides entre l’ibanque (banque par internet) et la banque classique diversifiée avec la participation majoritaire ou minoritaire de l’état, axées surtout sur les services (crédits, participation à la gestion, identification de nouveaux projets innovants) aux petites PME parties essentielles du tissu économique.
Contrairement à certains de nos voisins, notre système économique, imprégné de social, équilibré et diversifié entre le poids du public et du privé, a incontestablement des atouts qui sont en mesure d’amortir le choc du tsunami financier. Les retraites ne sont pas basées sur les fonds de pension ou sur la capitalisation qui peuvent fondre au moindre écart. Une partie des revenus des français est, en effet, liée à la redistribution.
Forts de ses amortisseurs, nous pouvons saisir ces opportunités pour aller encore plus de l’avant dans les adaptations aux nouvelles règles et aux nouveaux défis et prendre de l’avance.
Dégeler les marchés, leur permettre de prêter, leur assurer plus de liquidités, voila quelques mesures phares faisant partie du plan de relance.
Hélas, il semble que la machine peine à prêter et à s’impliquer. Peut être a-t-elle ses raisons ?
Ces raisons sont-t'elles liées aux hauts risques que présentent certaines entreprises ?
Ou bien sont-t'elles internes à la banque et tout simplement structurelles ?
Sont-elles en mesure de changer ou d’adapter leurs règles de fonctionnement héritées de l’ancienne économie et de l’ex vrai fausse aisance boursière.
Leurs structures actuelles sont-t' elles à adapter en profondeur à la crise et aux nouveaux défis ?
Sont-t'elles en mesure de réaliser les transformations et adaptations par elles-mêmes ?
Faut-il les redynamiser en créant un conseil de contrôle ou de régulation composé de technicopolitiques pragmatiques chargés de ramener à la fois de la souplesse, de la hardiesse et de l’agressivité dans l’octroi des crédits mais aussi dans la gestion bancaire.
Parallèlement, et pourquoi pas, créer également si cela s'avère nécessaire, de nouvelles banques "de développement"plus souples plus efficaces ne portant pas de grosses casser oles, des banques hybrides entre l’ibanque (banque par internet) et la banque classique diversifiée avec la participation majoritaire ou minoritaire de l’état, axées surtout sur les services (crédits, participation à la gestion, identification de nouveaux projets innovants) aux petites PME parties essentielles du tissu économique.
Contrairement à certains de nos voisins, notre système économique, imprégné de social, équilibré et diversifié entre le poids du public et du privé, a incontestablement des atouts qui sont en mesure d’amortir le choc du tsunami financier. Les retraites ne sont pas basées sur les fonds de pension ou sur la capitalisation qui peuvent fondre au moindre écart. Une partie des revenus des français est, en effet, liée à la redistribution.
Forts de ses amortisseurs, nous pouvons saisir ces opportunités pour aller encore plus de l’avant dans les adaptations aux nouvelles règles et aux nouveaux défis et prendre de l’avance.
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