

La loi Lagarde de la réforme du crédit à la consommation a apporté des aménagements précis au circuit de surendettement "banques - créanciers et victimes".
Il fallait rompre ce cercle infernal.
Voilà du concret et du pragmatisme dans l’esprit de la justice et la cohésion sociales. Christine Lagarde confirme encore une fois que c’est une femme d’action, politiquement complètement engagée et cette loi est l'exemple appliqué de la règle qui dit que "la richesse d’un pays ce sont ses ressources humaines".
Idée contre idée, projet contre projet respectant des valeurs humaines avant tout, voila l’avenir.
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